Kinshasa, mégalopole en pleine expansion, s'apprête à concrétiser une nouvelle phase dans son combat pour l'accès à l’eau potable. Le gouvernement congolais et la Banque mondiale ont récemment présenté les avancées du Programme d’accès à l’eau et à l’assainissement (PACEA), un projet ambitieux destiné à améliorer les conditions de vie des millions d’habitants de la capitale et des régions environnantes.

En République démocratique du Congo, le rapport récemment publié par l'Autorité de régulation de la poste et télécommunications du Congo (ARPTC) met en lumière une transformation des usages numériques. Au deuxième trimestre 2024, le trafic de données mobiles a progressé de 9,25 %.

Le commerce intelligent s’est imposé comme une transformation necessaire dans la relation entre les consommateurs et les marques. En exploitant des données collectées à chaque interaction numérique, les entreprises redéfinissent les parcours d’achat pour offrir des expériences toujours plus personnalisées. Mais derrière cette promesse d’efficacité se cachent des enjeux complexes, notamment sur le contrôle des comportements d'achat et le respect de la vie privée.

Le secteur bancaire traverse une phase de mutation profonde, poussée par deux forces majeures : l’urgence du développement durable et l’ascension des Bigtech. Ces bouleversements invitent les institutions financières à revisiter leurs stratégies pour ne pas être reléguées à un rôle secondaire dans une économie mondiale de plus en plus connectée et exigeante.

En République démocratique du Congo (RDC), l’usage de la monnaie mobile bouleverse les habitudes économiques et sociales, ouvrant de nouvelles perspectives pour des millions de citoyens. Avec 5,25 millions d’utilisateurs enregistrés à Kinshasa, la capitale du pays se positionne comme un acteur incontournable dans cette dynamique. Cette révolution numérique témoigne d’un profond besoin d’inclusion financière, particulièrement dans les zones où l’accès aux services bancaires reste limité.

Du 25 au 27 novembre 2024, la République Démocratique du Congo, à travers son Agence Nationale pour la Promotion des Investissements (ANAPI), a marqué sa présence à Riyad lors de la 28e Conférence Internationale sur l’Investissement. Cet événement, rassemblant des leaders économiques mondiaux, a permis à l’ANAPI de faire valoir les immenses opportunités qu’offre la RDC en matière d’investissement durable et innovant.

Kinshasa a accueilli cette semaine un événement inédit : la semaine économique égyptienne, symbole d’une coopération renforcée entre la République démocratique du Congo et l’Égypte. À cette occasion, une délégation d’hommes d’affaires égyptiens a échangé avec des responsables congolais sur des stratégies visant à dynamiser l’entrepreneuriat local et à construire une classe d’affaires capable de transformer l’économie nationale.

Les regards se tournent vers un nouvel élan dans le financement climatique alors que Rawbank, leader bancaire en RDC, s’associe avec Vitol, géant de l’énergie, pour soutenir des projets liés à l’environnement. Cet engagement intervient alors que la COP29, qui a débuté le 11 novembre 2024 à Bakou en Azerbaïdjan, met au cœur de ses priorités le renforcement des moyens financiers pour lutter contre le changement climatique. Avec un objectif ambitieux de 120 milliards de dollars par an d’ici 2030, cette collaboration illustre une volonté de répondre aux défis environnementaux tout en dynamisant l’économie locale.

La République Démocratique du Congo (RDC) a enclenché une dynamique ambitieuse visant à transformer son environnement économique. Le 15 novembre 2024, une étape déterminante a été franchie avec la validation d’une feuille de route contenant des réformes ciblées. Cette initiative, pilotée par l’ANAPI, marque un tournant stratégique dans les efforts pour attirer des investissements et améliorer la compétitivité du pays sur la scène internationale.

Le forum Ambition Africa, qui a débuté aujourd'hui à Bercy, rassemble une mosaïque d’acteurs économiques venus de France et d’Afrique. Avec plus de 1 800 participants confirmés, cet événement dépasse le cadre d’une simple rencontre : il se positionne comme un levier stratégique pour rapprocher deux continents autour d’intérêts communs. L’enjeu principal reste de mettre en lumière les opportunités et de renforcer des partenariats économiques durables.