Le parc agricole de Nkuadi, situé à 40 km de Mbuji-Mayi, a lancé la récolte de 300 hectares de maïs, avec un rendement estimé à 1 200 tonnes. Soutenu par le gouvernement central, ce projet vise à renforcer la sécurité alimentaire en transformant le maïs en farine vendue à prix accessible. En parallèle, des initiatives agricoles, comme la distribution de semences améliorées à 2 500 ménages, sont mises en place pour accroître la production locale et lutter contre la malnutrition dans le Kasaï-Oriental.
Le 14 mars 2025, la République Démocratique du Congo (RDC) et l'Agence Française de Développement (AFD) ont signé deux accords de prêt pour renforcer l'infrastructure numérique nationale et revitaliser la ville de Boma. Le premier, cofinancé par l'AFD et la Banque mondiale à hauteur de 500 millions de dollars, vise à améliorer la connectivité internet, permettant à 30 millions de Congolais d'accéder à des services en ligne plus abordables. Le second projet se concentre sur Boma, touchée par le déclin des activités portuaires et industrielles, avec des initiatives pour lutter contre l'érosion des sols, améliorer les infrastructures locales et promouvoir la participation citoyenne. Les objectifs incluent l'augmentation des revenus de 5 000 femmes, la réhabilitation d'un centre de santé et le renforcement des capacités locales pour un développement durable.
Les dépôts bancaires en République démocratique du Congo ont atteint 14,695 millions USD au 28 février 2025, enregistrant une baisse de 0,3 % par rapport au mois précédent, principalement en raison du recul des dépôts en devises de 0,7 %, malgré une hausse de 4,3 % des dépôts en monnaie nationale. Parallèlement, les crédits bruts ont diminué de 1,9 %, s’établissant à 8,374 milliards USD, avec une contraction des crédits en devises de 2,4 %, tandis que ceux en monnaie locale ont progressé de 3,6 %. Ces tendances traduisent une évolution contrastée du secteur bancaire congolais, marqué en 2024 par une croissance des dépôts de 22,4 % et une augmentation des crédits de 17,3 %.
En février 2025, la Banque centrale du Congo (BCC) a procédé à une injection hebdomadaire de 60,8 milliards de CDF dans le secteur bancaire via les Bons BCC, visant à réguler la liquidité bancaire.
Le marché du cuivre traverse une phase d’incertitude, marquée par les tensions commerciales entre les États-Unis et leurs partenaires. La récente enquête lancée par Washington sur les importations de cuivre pourrait entraîner l’imposition de droits de douane de 25 %, impactant directement les industries consommatrices de ce métal stratégique. Malgré cette pression, la faiblesse du dollar atténue en partie les pertes, rendant le cuivre plus attractif pour les acheteurs étrangers. Alors que la demande mondiale reste soutenue, notamment grâce aux investissements dans les infrastructures et la transition énergétique, les perspectives du marché demeurent incertaines face aux politiques protectionnistes américaines.
Le minerai de fer en plein rebond !
Alors que les prix des concentrés de minerai de fer dans le Shandong atteignent 907 yuans la tonne, les aciéries chinoises accélèrent leurs commandes, dopées par une demande en plein essor. 🚀 Avec une consommation d'acier pour armature en hausse de 163 % en une semaine, le marché s'emballe et les stocks s'amenuisent. Les contrats à terme sur le minerai de fer grimpent aussi, frôlant 837 yuans à Dalian. Vers une nouvelle dynamique haussière ?
Le Groupe de la Banque mondiale a lancé son programme de bourses pour l'Afrique 2024, offrant une opportunité exceptionnelle aux doctorants et aux récents diplômés du doctorat originaires de l'Afrique subsaharienne. Ce programme vise à cultiver une nouvelle génération de leaders africains dans la recherche en développement et la formulation de politiques...
Le projet TRANSFORME lance une campagne de recrutement pour identifier et sélectionner de nouveaux formateurs pour les programmes Formation à l'Initiative Personnelle (FIP) et Student Training for Entrepreneurial Promotion (STEP), ainsi que des Agents de contrôle de qualité.
FPI-Appel d'Offres International pour l'Acquisition de Véhicules 4x4 en RDC. Cet appel d'offres fait suite au Plan de Passation des Marchés publié sur le site internet de l'ARMP le 5 mars 2024.
Le parc agricole de Nkuadi, situé à 40 km de Mbuji-Mayi, a lancé la récolte de 300 hectares de maïs, avec un rendement estimé à 1 200 tonnes. Soutenu par le gouvernement central, ce projet vise à renforcer la sécurité alimentaire en transformant le maïs en farine vendue à prix accessible. En parallèle, des initiatives agricoles, comme la distribution de semences améliorées à 2 500 ménages, sont mises en place pour accroître la production locale et lutter contre la malnutrition dans le Kasaï-Oriental.
Un accord visant à éponger les arriérés de salaires des retraités de l’Office national des transports (Onatra) a été conclu à Kinshasa entre le gouvernement congolais, la Direction générale des douanes et accises (DGDA) et la direction de l’Onatra. Cette initiative prévoit l’injection de fonds sociaux pour stabiliser l’entreprise et assurer le paiement des décomptes finaux des agents. Dans un délai de 48 heures, des discussions seront engagées pour organiser le déblocage effectif des paiements, marquant ainsi une avancée dans la gestion des finances de l’Onatra et l’amélioration des conditions de vie des anciens travailleurs.
Le 17 décembre 2024, la République démocratique du Congo a levé 50 millions USD via une émission de Bons du Trésor en dollars américains, enregistrant un taux de couverture de 209 %, avec des offres totalisant 94,05 millions USD. Cette forte demande illustre la confiance des investisseurs dans la dette souveraine du pays. Les taux proposés variaient entre 8,25 % et 10 %, avec un taux moyen pondéré de 8,914 %. Ces levées de fonds s’inscrivent dans la stratégie gouvernementale visant à mobiliser des ressources en devises pour stabiliser l’économie et financer le déficit budgétaire
📌 Avec une dette publique estimée à 11,35 % du PIB en 2024, la RDC parvient-elle enfin à maîtriser son endettement ?
Après un pic record à 23 843 milliards de francs congolais, le pays amorce une trajectoire descendante pour atteindre 16 227 milliards en 2029. Derrière ces chiffres se cache un pari économique : attirer davantage d’investisseurs en améliorant la gestion financière. Explications sur cette tendance sur Lepoint.cd.
Les autorités congolaises font face à une perte de recettes estimée à plus de 130 millions de dollars à la suite de la mise en œuvre de l'amendement numéro 5 de l'accord passé avec la Chine pour le projet minier. Ce déficit, relevé par un collectif d'acteurs de la société civile, a été exposé lors d'une conférence tenue le 5 mars 2025 à l'hôtel Memling, dans le quartier de la Gombe.
Le marché des cosmétiques en Afrique connaît une expansion remarquable, portée par des transformations économiques et sociales. Selon les estimations, l’industrie des cosméceutiques atteindra 5,29 milliards de dollars d’ici 2029, avec un taux de croissance annuel de 6,86 %. Ce développement reflète l’évolution des habitudes de consommation, notamment dans les zones urbaines où les besoins spécifiques en soins de la peau et des cheveux s’intensifient.