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Calendrier Économique

Investissements

Regards du FMI sur les performances économiques de la RDC

​Le Fonds Monétaire International (FMI) a récemment conclu un accord avec la République Démocratique du Congo (RDC) pour un programme triennal de 2,8 milliards de dollars, visant à soutenir les réformes économiques et renforcer la gestion durable des ressources naturelles du pays. En 2022, la RDC a affiché une croissance économique notable de 8,9 %, principalement due à l'expansion du secteur minier. Cependant, cette croissance s'est accompagnée d'une inflation accrue, passant de 9,3 % en 2022 à 19,9 % en 2023, en raison de la dépréciation du franc congolais et des perturbations dans l'approvisionnement en denrées alimentaires et en énergie. Le FMI souligne l'importance de diversifier l'économie congolaise, de renforcer la gouvernance et d'améliorer le climat des affaires pour assurer une croissance inclusive et durable.

RDC : un budget trimestriel de 13,7 milliards $ face aux défis de mise...

Le Plan d'Engagement Budgétaire (PEB) de la République démocratique du Congo pour le premier trimestre 2025 s'élève à 34 440 milliards de francs congolais (environ 13,7 milliards de dollars américains), reflétant les priorités financières du pays. Les rémunérations du secteur public absorbent près de 30 % de ce budget, soit 10 132 milliards de francs congolais, mettant en évidence l'importance de la fonction publique et les défis liés aux retards de paiement des salaires.

Wall Street

Etudes

Afrique monde

L’industrie des batteries face à des défis suite à l’arrêt des exportations de cobalt par la RDC

​En février 2025, la République démocratique du Congo (RDC), premier producteur mondial de cobalt, a suspendu pour quatre mois les exportations de ce métal essentiel aux batteries de véhicules électriques, afin de contrer la baisse des prix due à une surabondance sur le marché international. Cette mesure a entraîné une hausse immédiate des prix du cobalt, mais certains analystes estiment que son impact pourrait être temporaire, les entreprises continuant à stocker le métal pendant la suspension.

Face à l’arrêt des exportations de cobalt en RDC, l’Indonésie ajustera-t-elle sa politique ?

​La République démocratique du Congo (RDC) a suspendu ses exportations de cobalt pour quatre mois à partir du 22 février 2025, afin de réduire l'excédent d'offre sur le marché mondial et de stabiliser les prix de ce métal essentiel aux batteries des véhicules électriques. Cette mesure a entraîné une hausse immédiate des prix du cobalt, reflétant l'impact direct de la production congolaise sur le marché international. La RDC, fournissant environ 75 % de la production mondiale de cobalt, envisage également d'introduire des quotas d'exportation pour mieux réguler l'offre et assurer des revenus durables pour le pays.

Le cuivre se stabilise à 9 810 dollars la tonne après un pic à 9 850 dollars

​Le 13 mars 2025, le cours de l'or a atteint 88 006 euros le kilogramme, reflétant une hausse notable. Parallèlement, le cuivre a connu des fluctuations, avec des prévisions pour 2025 estimant un prix maximum de 4,689 dollars la livre, selon Wallet Investor. Ces mouvements sur les marchés des métaux précieux et industriels illustrent la volatilité actuelle et l'importance de surveiller les indicateurs économiques mondiaux.

300 000 barils de pétrole exportés vers le Cameroun : la raffinerie Dangote renforce l’approvisionnement africain

La raffinerie Dangote au Nigeria redéfinit l'approvisionnement énergétique en Afrique en exportant ses premiers produits pétroliers raffinés vers plusieurs pays, dont le Cameroun, l'Angola et l'Afrique du Sud. Alors que ces nations font face à une capacité de raffinage insuffisante et une dépendance aux importations extérieures, cette initiative offre une alternative régionale stratégique. En parallèle, des projets d'expansion des infrastructures de raffinage, notamment en Angola avec la raffinerie de Cabinda, visent à renforcer l'autonomie énergétique du continent et à stabiliser l'approvisionnement en carburants.

Le cuivre se stabilise à 9 560 $/t malgré les tensions commerciales et la faiblesse du dollar

Le marché du cuivre traverse une phase d’incertitude, marquée par les tensions commerciales entre les États-Unis et leurs partenaires. La récente enquête lancée par Washington sur les importations de cuivre pourrait entraîner l’imposition de droits de douane de 25 %, impactant directement les industries consommatrices de ce métal stratégique. Malgré cette pression, la faiblesse du dollar atténue en partie les pertes, rendant le cuivre plus attractif pour les acheteurs étrangers. Alors que la demande mondiale reste soutenue, notamment grâce aux investissements dans les infrastructures et la transition énergétique, les perspectives du marché demeurent incertaines face aux politiques protectionnistes américaines.

Avec un déficit de 402 milliards USD, l’industrialisation africaine reste un défi d’ici 2030

Avec une croissance attendue à 4,3 % en 2025, le continent s’impose comme la deuxième région la plus dynamique au monde après l’Asie. Mais derrière ces chiffres, une réalité contrastée : inflation galopante, accès limité aux financements, dette publique élevée… Pourtant, l’essor des TIC, de l’industrialisation et des services à haute valeur ajoutée ouvre des perspectives inédites. L’Afrique est-elle prête à transformer ces défis en levier de croissance durable ?

Mines

L’industrie des batteries face à des défis suite à l’arrêt des exportations de cobalt...

​En février 2025, la République démocratique du Congo (RDC), premier producteur mondial de cobalt, a suspendu pour quatre mois les exportations de ce métal essentiel aux batteries de véhicules électriques, afin de contrer la baisse des prix due à une surabondance sur le marché international. Cette mesure a entraîné une hausse immédiate des prix du cobalt, mais certains analystes estiment que son impact pourrait être temporaire, les entreprises continuant à stocker le métal pendant la suspension.

Face à l’arrêt des exportations de cobalt en RDC, l’Indonésie ajustera-t-elle sa politique ?

​La République démocratique du Congo (RDC) a suspendu ses exportations de cobalt pour quatre mois à partir du 22 février 2025, afin de réduire l'excédent d'offre sur le marché mondial et de stabiliser les prix de ce métal essentiel aux batteries des véhicules électriques. Cette mesure a entraîné une hausse immédiate des prix du cobalt, reflétant l'impact direct de la production congolaise sur le marché international. La RDC, fournissant environ 75 % de la production mondiale de cobalt, envisage également d'introduire des quotas d'exportation pour mieux réguler l'offre et assurer des revenus durables pour le pays.

Le cuivre se stabilise à 9 810 dollars la tonne après un pic à...

​Le 13 mars 2025, le cours de l'or a atteint 88 006 euros le kilogramme, reflétant une hausse notable. Parallèlement, le cuivre a connu des fluctuations, avec des prévisions pour 2025 estimant un prix maximum de 4,689 dollars la livre, selon Wallet Investor. Ces mouvements sur les marchés des métaux précieux et industriels illustrent la volatilité actuelle et l'importance de surveiller les indicateurs économiques mondiaux.

Conflit et ressources : la RDC cherche à diversifier ses partenaires miniers

Les États-Unis manifestent leur intérêt pour établir des partenariats miniers avec la RDC, pays stratégique pour les minerais essentiels aux technologies avancées. Alors que Kinshasa cherche à diversifier ses collaborations économiques, Washington explore des opportunités d'investissement, malgré l'absence d'entreprises minières américaines opérant sur place. Cette initiative intervient dans un contexte marqué par l'instabilité sécuritaire et une présence dominante de la Chine dans le secteur. Des discussions sont en cours entre les autorités congolaises et américaines pour structurer un éventuel accord garantissant une exploitation transparente et bénéfique pour les deux parties.

Partenariat stratégique envisagé : Washington pourrait accéder aux vastes réserves de coltan de la...

Les États-Unis et la République démocratique du Congo (RDC) sont en pourparlers exploratoires concernant un accord potentiel qui offrirait à Washington un accès exclusif aux ressources naturelles de la RDC, en échange d'une assistance pour combattre une rébellion soutenue par le Rwanda. Le département d'État américain a confirmé son ouverture à explorer un partenariat avec la RDC, reconnaissant que ce pays détient une part significative des minéraux critiques mondiaux nécessaires aux technologies avancées. Cette initiative reflète les préoccupations du gouvernement congolais face à l'offensive du groupe rebelle M23, qui a capturé des territoires riches en minéraux dans l'est du pays, près de la frontière avec le Rwanda.

Flambée du cobalt : +9,25 % en une semaine, porté à 23 251 USD...

Le prix du cobalt a enregistré une hausse de **9,25 %** entre le **10 et le 15 mars 2025**, atteignant **23 251 dollars** la tonne contre **21 282 dollars** la semaine précédente, selon le ministère du Commerce extérieur. Cette progression intervient après une période de forte baisse due à une **surproduction mondiale**, notamment en **République démocratique du Congo (RDC)** et en **Indonésie**, les deux principaux producteurs. Pour stabiliser le marché, la RDC a suspendu ses **exportations de cobalt pendant quatre mois**, une décision qui pourrait influencer l'évolution des prix. En parallèle, d'autres minerais comme le cuivre, le zinc et l'or ont enregistré des baisses, reflétant les **fluctuations de l'offre et de la demande** sur les marchés internationaux.

RDC : relance de Kipushi et expansion de Kinsevere, plus d’un million de tonnes...

La RDC renforce son attractivité minière avec la relance de la production de zinc à Kipushi, exploitée par KICO, et l’expansion de la mine de Kinsevere, qui vise une hausse significative de la production de cuivre et de cobalt. Ces investissements stratégiques, soutenus par des acteurs majeurs comme Ivanhoe Mines et MMG Limited, témoignent du potentiel du pays à capter des capitaux internationaux grâce à ses riches réserves naturelles et à sa position clé dans la transition énergétique mondiale.

Le cuivre se stabilise à 9 560 $/t malgré les tensions commerciales et la...

Le marché du cuivre traverse une phase d’incertitude, marquée par les tensions commerciales entre les États-Unis et leurs partenaires. La récente enquête lancée par Washington sur les importations de cuivre pourrait entraîner l’imposition de droits de douane de 25 %, impactant directement les industries consommatrices de ce métal stratégique. Malgré cette pression, la faiblesse du dollar atténue en partie les pertes, rendant le cuivre plus attractif pour les acheteurs étrangers. Alors que la demande mondiale reste soutenue, notamment grâce aux investissements dans les infrastructures et la transition énergétique, les perspectives du marché demeurent incertaines face aux politiques protectionnistes américaines.

Banque & Télécom

RDC : les dépôts bancaires reculent de 0,3 % en février 2025 pour s’établir à 14,7 milliards USD

Les dépôts bancaires en République démocratique du Congo ont atteint 14,695 millions USD au 28 février 2025, enregistrant une baisse de 0,3 % par rapport au mois précédent, principalement en raison du recul des dépôts en devises de 0,7 %, malgré une hausse de 4,3 % des dépôts en monnaie nationale. Parallèlement, les crédits bruts ont diminué de 1,9 %, s’établissant à 8,374 milliards USD, avec une contraction des crédits en devises de 2,4 %, tandis que ceux en monnaie locale ont progressé de 3,6 %. Ces tendances traduisent une évolution contrastée du secteur bancaire congolais, marqué en 2024 par une croissance des dépôts de 22,4 % et une augmentation des crédits de 17,3 %.

RDC : un fonds d’exportation en préparation avec Equity BCDC pour renforcer le commerce extérieur

Le gouvernement congolais et Equity BCDC s’associent pour mettre en place un fonds destiné à soutenir les exportations de la RDC, en exploitant pleinement les accords commerciaux internationaux, notamment l’AGOA avec les États-Unis, l’accord sino-africain et les négociations avec l’Union européenne. Une commission technique sera formée pour concrétiser cette initiative, qui s’inscrit dans une stratégie plus large de diversification des échanges et de renforcement du commerce intra-africain, en particulier via la ZLECAf et le commerce transfrontalier avec les pays voisins.

Fonds monétaire international : 2,8 milliards $ sur 38 mois pour la RDC, avec 66,625 millions de DTS en jeu

La RDC sous l'œil du FMI : 266 millions $ en attente. Le Fonds monétaire international vient d’achever une mission en RDC pour évaluer l’avancement des réformes économiques. Une validation positive pourrait débloquer 266,6 millions de dollars dès mai 2025. Mais entre défis sécuritaires à l’Est et exigences budgétaires, Kinshasa pourra-t-elle convaincre ?

Experts

RDC : un budget trimestriel de 13,7 milliards $ face aux défis de mise en œuvre

Le Plan d'Engagement Budgétaire (PEB) de la République démocratique du Congo pour le premier trimestre 2025 s'élève à 34 440 milliards de francs congolais (environ 13,7 milliards de dollars américains), reflétant les priorités financières du pays. Les rémunérations du secteur public absorbent près de 30 % de ce budget, soit 10 132 milliards de francs congolais, mettant en évidence l'importance de la fonction publique et les défis liés aux retards de paiement des salaires.

Le cuivre se stabilise à 9 810 dollars la tonne après un pic à 9 850 dollars

​Le 13 mars 2025, le cours de l'or a atteint 88 006 euros le kilogramme, reflétant une hausse notable. Parallèlement, le cuivre a connu des fluctuations, avec des prévisions pour 2025 estimant un prix maximum de 4,689 dollars la livre, selon Wallet Investor. Ces mouvements sur les marchés des métaux précieux et industriels illustrent la volatilité actuelle et l'importance de surveiller les indicateurs économiques mondiaux.

Investissement de 30 millions USD : le Parc de Nkuadi atteint une capacité de transformation de 130 tonnes de farine de maïs par jour

Le Parc agricole de Nkuadi, situé à environ 40 kilomètres de Mbuji-Mayi dans la province du Kasaï-Oriental, a récemment récolté 1 200 tonnes de maïs sur une superficie de 300 hectares, avec un rendement moyen de 4 tonnes par hectare. Ces récoltes sont transformées en farine conditionnée en sacs de 5, 10, 25 et 50 kilogrammes, rendant le produit accessible à une large clientèle.

Projets sino-congolais : l’APCSC déplore l’arrêt des travaux à Bukavu et Nyantende

Les agents et cadres de l'APCSC se sont réunis à Kinshasa pour une cérémonie présidée par Me Freddy Yodi Shembo, mettant en avant l'inclusion économique des femmes et l’impact sécuritaire sur les projets en cours. Le Directeur Général a déploré l'interruption des chantiers de la route Bukavu-Kamanyola et du stade de Nyantende, tout en saluant les efforts des FARDC et des forces de sécurité dans la défense du territoire. La rencontre s’est achevée par un moment d’échange visant à renforcer la cohésion au sein de l’agence.

Sécurité alimentaire : 1 200 tonnes de maïs transformées en farine pour répondre aux besoins du Kasaï-Oriental

Le parc agricole de Nkuadi, situé à 40 km de Mbuji-Mayi, a lancé la récolte de 300 hectares de maïs, avec un rendement estimé à 1 200 tonnes. Soutenu par le gouvernement central, ce projet vise à renforcer la sécurité alimentaire en transformant le maïs en farine vendue à prix accessible. En parallèle, des initiatives agricoles, comme la distribution de semences améliorées à 2 500 ménages, sont mises en place pour accroître la production locale et lutter contre la malnutrition dans le Kasaï-Oriental.

300 000 barils de pétrole exportés vers le Cameroun : la raffinerie Dangote renforce l’approvisionnement africain

La raffinerie Dangote au Nigeria redéfinit l'approvisionnement énergétique en Afrique en exportant ses premiers produits pétroliers raffinés vers plusieurs pays, dont le Cameroun, l'Angola et l'Afrique du Sud. Alors que ces nations font face à une capacité de raffinage insuffisante et une dépendance aux importations extérieures, cette initiative offre une alternative régionale stratégique. En parallèle, des projets d'expansion des infrastructures de raffinage, notamment en Angola avec la raffinerie de Cabinda, visent à renforcer l'autonomie énergétique du continent et à stabiliser l'approvisionnement en carburants.

Métaux stratégiques : la RDC ouvre la porte aux États-Unis, Pékin en alerte

La République démocratique du Congo (RDC) cherche à rééquilibrer ses relations économiques en diversifiant ses partenariats miniers, notamment en intégrant les États-Unis dans l’exploitation de ses ressources stratégiques. Cette initiative s'inscrit dans un contexte de rivalité croissante entre Washington et Pékin, chacun cherchant à sécuriser l’accès aux minerais critiques comme le cobalt et le cuivre. Face à cette ouverture, la Chine pourrait intensifier ses investissements et revoir ses accords avec la RDC afin de préserver son influence, illustrant ainsi la complexité des enjeux économiques et géopolitiques liés aux ressources minières congolaises.

Conflit et ressources : la RDC cherche à diversifier ses partenaires miniers

Les États-Unis manifestent leur intérêt pour établir des partenariats miniers avec la RDC, pays stratégique pour les minerais essentiels aux technologies avancées. Alors que Kinshasa cherche à diversifier ses collaborations économiques, Washington explore des opportunités d'investissement, malgré l'absence d'entreprises minières américaines opérant sur place. Cette initiative intervient dans un contexte marqué par l'instabilité sécuritaire et une présence dominante de la Chine dans le secteur. Des discussions sont en cours entre les autorités congolaises et américaines pour structurer un éventuel accord garantissant une exploitation transparente et bénéfique pour les deux parties.

300 000 barils de pétrole exportés vers le Cameroun : la raffinerie Dangote renforce l’approvisionnement africain

La raffinerie Dangote au Nigeria redéfinit l'approvisionnement énergétique en Afrique en exportant ses premiers produits pétroliers raffinés vers plusieurs pays, dont le Cameroun, l'Angola et l'Afrique du Sud. Alors que ces nations font face à une capacité de raffinage insuffisante et une dépendance aux importations extérieures, cette initiative offre une alternative régionale stratégique. En parallèle, des projets d'expansion des infrastructures de raffinage, notamment en Angola avec la raffinerie de Cabinda, visent à renforcer l'autonomie énergétique du continent et à stabiliser l'approvisionnement en carburants.

Partenariat stratégique envisagé : Washington pourrait accéder aux vastes réserves de coltan de la RDC, essentielles pour les technologies avancées

Les États-Unis et la République démocratique du Congo (RDC) sont en pourparlers exploratoires concernant un accord potentiel qui offrirait à Washington un accès exclusif aux ressources naturelles de la RDC, en échange d'une assistance pour combattre une rébellion soutenue par le Rwanda. Le département d'État américain a confirmé son ouverture à explorer un partenariat avec la RDC, reconnaissant que ce pays détient une part significative des minéraux critiques mondiaux nécessaires aux technologies avancées. Cette initiative reflète les préoccupations du gouvernement congolais face à l'offensive du groupe rebelle M23, qui a capturé des territoires riches en minéraux dans l'est du pays, près de la frontière avec le Rwanda.

60,8 milliards CDF injectés en février 2025 : la BCC ajuste la liquidité bancaire

En février 2025, la Banque centrale du Congo (BCC) a procédé à une injection hebdomadaire de 60,8 milliards de CDF dans le secteur bancaire via les Bons BCC, visant à réguler la liquidité bancaire.

RDC-Chine : un projet d’élevage pour produire 5 millions de poussins par an et réduire la dépendance aux importations

La République démocratique du Congo et la Chine s’apprêtent à formaliser un partenariat visant à développer l’élevage de poulets à plumes blanches en RDC. Porté par les entreprises chinoises Shandong Guangming Biotech et Luchuan International Trade, ce projet ambitionne de renforcer l’approvisionnement local en poussins de qualité, de réduire la dépendance aux importations et de moderniser la chaîne de valeur de l’élevage. L’accord inclut également un transfert de technologies et des formations techniques, avec l’envoi annuel d’équipes spécialisées. La Chine s’engage notamment à fournir 50 000 couples de reproducteurs parentaux chaque année, capables de produire 5 millions de poussins commerciaux, assurant ainsi un taux de survie de 95 % grâce à une logistique de transport adaptée. Cet investissement s’inscrit dans une stratégie gouvernementale visant l’autosuffisance alimentaire en RDC.

RDC : un budget trimestriel de 13,7 milliards $ face aux défis de mise en œuvre

Le Plan d'Engagement Budgétaire (PEB) de la République démocratique du Congo pour le premier trimestre 2025 s'élève à 34 440 milliards de francs congolais (environ 13,7 milliards de dollars américains), reflétant les priorités financières du pays. Les rémunérations du secteur public absorbent près de 30 % de ce budget, soit 10 132 milliards de francs congolais, mettant en évidence l'importance de la fonction publique et les défis liés aux retards de paiement des salaires.

Partenariat stratégique envisagé : Washington pourrait accéder aux vastes réserves de coltan de la RDC, essentielles pour les technologies avancées

Les États-Unis et la République démocratique du Congo (RDC) sont en pourparlers exploratoires concernant un accord potentiel qui offrirait à Washington un accès exclusif aux ressources naturelles de la RDC, en échange d'une assistance pour combattre une rébellion soutenue par le Rwanda. Le département d'État américain a confirmé son ouverture à explorer un partenariat avec la RDC, reconnaissant que ce pays détient une part significative des minéraux critiques mondiaux nécessaires aux technologies avancées. Cette initiative reflète les préoccupations du gouvernement congolais face à l'offensive du groupe rebelle M23, qui a capturé des territoires riches en minéraux dans l'est du pays, près de la frontière avec le Rwanda.

Oppoortunités

Programme de bourses d’études du groupe de la Banque mondiale pour l’Afrique 2024

Le Groupe de la Banque mondiale a lancé son programme de bourses pour l'Afrique 2024, offrant une opportunité exceptionnelle aux doctorants et aux récents diplômés du doctorat originaires de l'Afrique subsaharienne. Ce programme vise à cultiver une nouvelle génération de leaders africains dans la recherche en développement et la formulation de politiques...

Offre d’emploi : Identification de nouveaux formateurs FIP & STEP / Agent de contrôle de qualité

Le projet TRANSFORME lance une campagne de recrutement pour identifier et sélectionner de nouveaux formateurs pour les programmes Formation à l'Initiative Personnelle (FIP) et Student Training for Entrepreneurial Promotion (STEP), ainsi que des Agents de contrôle de qualité.

Nos champions

Constant Luzitu, bâtisseur d’une identité culturelle et architecturale congolaise

Dans un Congo en quête de repères architecturaux, Constant Luzitu s’impose comme une figure majeure, incarnant la synthèse entre la mémoire d’un peuple et les exigences de la modernité. Formé à l’Institut du Bâtiment et Travaux Publics (IBTP) de Kinshasa en 1986, il surmonte les défis politiques et économiques de son époque, obtenant son diplôme en 1996 après neuf années d’efforts.

Technologie

Avec 60,3 millions de connexions mobiles actives, la RDC atteint un taux de 54,3 % en 2025

En janvier 2025, la République démocratique du Congo (RDC) comptait 34 millions d'internautes, représentant 30,6 % de la population totale de 111 millions d'habitants. Le pays enregistrait également 60,3 millions de connexions mobiles actives, soit un taux de pénétration de 54,3 %. Cependant, seuls 6,6 % des Congolais, soit 7,35 millions de personnes, étaient actifs sur les réseaux sociaux. Ces chiffres illustrent une croissance nécessaire de l'adoption des technologies numériques en RDC, bien que des efforts restent nécessaires pour améliorer l'accès et l'utilisation des services en ligne à travers le pays.

L’AFD accorde un prêt de 500 millions de dollars pour moderniser l’infrastructure numérique en RDC

Le 14 mars 2025, la République Démocratique du Congo (RDC) et l'Agence Française de Développement (AFD) ont signé deux accords de prêt pour renforcer l'infrastructure numérique nationale et revitaliser la ville de Boma. Le premier, cofinancé par l'AFD et la Banque mondiale à hauteur de 500 millions de dollars, vise à améliorer la connectivité internet, permettant à 30 millions de Congolais d'accéder à des services en ligne plus abordables. Le second projet se concentre sur Boma, touchée par le déclin des activités portuaires et industrielles, avec des initiatives pour lutter contre l'érosion des sols, améliorer les infrastructures locales et promouvoir la participation citoyenne. Les objectifs incluent l'augmentation des revenus de 5 000 femmes, la réhabilitation d'un centre de santé et le renforcement des capacités locales pour un développement durable.

Occupation du M23 à Goma : les applications digitales deviennent l’unique recours pour les transactions bancaires

À Goma, l’argent ne dort pas, il devient digital ! Face à la fermeture des banques sous l'occupation du M23, les habitants n'ont eu d'autre choix que d’adopter massivement les services financiers numériques. Transactions mobiles, virements en ligne, paiements digitaux... Une transition forcée qui redessine l'accès à l'argent en période de crise. Mais jusqu’où ira cette mutation financière ? 👇 #Goma #FinanceDigitale #CriseÉconomique

L’assurance en RDC : de 1% aujourd’hui à 5-7% en 2030, soutenue par 35% de mobile money et un secteur informel à 85%.

Moins de 1 % de couverture en assurance et 35 % de la population utilisant la mobile money : la RDC s'oriente vers l'innovation numérique pour étendre la protection des foyers et des entreprises. Un panorama qui montre comment la technologie et la refonte des règles encadrent l'évolution du secteur dans un contexte économique en mutation.

Banque

Avec 60,3 millions de connexions mobiles actives, la RDC atteint un taux de 54,3 % en 2025

En janvier 2025, la République démocratique du Congo (RDC) comptait 34 millions d'internautes, représentant 30,6 % de la population totale de 111 millions d'habitants. Le pays enregistrait également 60,3 millions de connexions mobiles actives, soit un taux de pénétration de 54,3 %. Cependant, seuls 6,6 % des Congolais, soit 7,35 millions de personnes, étaient actifs sur les réseaux sociaux. Ces chiffres illustrent une croissance nécessaire de l'adoption des technologies numériques en RDC, bien que des efforts restent nécessaires pour améliorer l'accès et l'utilisation des services en ligne à travers le pays.

RDC : un budget trimestriel de 13,7 milliards $ face aux défis de mise en œuvre

Le Plan d'Engagement Budgétaire (PEB) de la République démocratique du Congo pour le premier trimestre 2025 s'élève à 34 440 milliards de francs congolais (environ 13,7 milliards de dollars américains), reflétant les priorités financières du pays. Les rémunérations du secteur public absorbent près de 30 % de ce budget, soit 10 132 milliards de francs congolais, mettant en évidence l'importance de la fonction publique et les défis liés aux retards de paiement des salaires.

RDC : les dépôts bancaires reculent de 0,3 % en février 2025 pour s’établir à 14,7 milliards USD

Les dépôts bancaires en République démocratique du Congo ont atteint 14,695 millions USD au 28 février 2025, enregistrant une baisse de 0,3 % par rapport au mois précédent, principalement en raison du recul des dépôts en devises de 0,7 %, malgré une hausse de 4,3 % des dépôts en monnaie nationale. Parallèlement, les crédits bruts ont diminué de 1,9 %, s’établissant à 8,374 milliards USD, avec une contraction des crédits en devises de 2,4 %, tandis que ceux en monnaie locale ont progressé de 3,6 %. Ces tendances traduisent une évolution contrastée du secteur bancaire congolais, marqué en 2024 par une croissance des dépôts de 22,4 % et une augmentation des crédits de 17,3 %.

60,8 milliards CDF injectés en février 2025 : la BCC ajuste la liquidité bancaire

En février 2025, la Banque centrale du Congo (BCC) a procédé à une injection hebdomadaire de 60,8 milliards de CDF dans le secteur bancaire via les Bons BCC, visant à réguler la liquidité bancaire.

60,8 milliards CDF injectés en février 2025 : la BCC ajuste la liquidité bancaire

En février 2025, la Banque centrale du Congo (BCC) a procédé à une injection hebdomadaire de 60,8 milliards de CDF dans le secteur bancaire via les Bons BCC, visant à réguler la liquidité bancaire.

RDC : une croissance économique de 7,9 % en 2024, portée par l’extraction minière (+15,5 %) et les télécommunications (+9,9 %)

La RDC affiche une croissance de 7,9 % en 2024, portée par le secteur minier (+15,5 %) et une expansion des télécommunications (+9,9 %), malgré un contexte sécuritaire fragile dans l’Est. Tandis que l’économie reste résiliente, la médiation du président angolais João Lourenço tente de relancer un dialogue entre Kinshasa et le M23, alors que les tensions régionales s’intensifient. La stabilité économique du pays demeure tributaire des efforts diplomatiques visant à restaurer la paix et à sécuriser les investissements.

RDC : un fonds d’exportation en préparation avec Equity BCDC pour renforcer le commerce extérieur

Le gouvernement congolais et Equity BCDC s’associent pour mettre en place un fonds destiné à soutenir les exportations de la RDC, en exploitant pleinement les accords commerciaux internationaux, notamment l’AGOA avec les États-Unis, l’accord sino-africain et les négociations avec l’Union européenne. Une commission technique sera formée pour concrétiser cette initiative, qui s’inscrit dans une stratégie plus large de diversification des échanges et de renforcement du commerce intra-africain, en particulier via la ZLECAf et le commerce transfrontalier avec les pays voisins.

RDC : un accord avec la DGDA pour éponger les arriérés de salaires des retraités de l’Onatra

Un accord visant à éponger les arriérés de salaires des retraités de l’Office national des transports (Onatra) a été conclu à Kinshasa entre le gouvernement congolais, la Direction générale des douanes et accises (DGDA) et la direction de l’Onatra. Cette initiative prévoit l’injection de fonds sociaux pour stabiliser l’entreprise et assurer le paiement des décomptes finaux des agents. Dans un délai de 48 heures, des discussions seront engagées pour organiser le déblocage effectif des paiements, marquant ainsi une avancée dans la gestion des finances de l’Onatra et l’amélioration des conditions de vie des anciens travailleurs.

Oppoortunités

Programme de bourses d’études du groupe de la Banque mondiale pour l’Afrique 2024

Le Groupe de la Banque mondiale a lancé son programme de bourses pour l'Afrique 2024, offrant une opportunité exceptionnelle aux doctorants et aux récents diplômés du doctorat originaires de l'Afrique subsaharienne. Ce programme vise à cultiver une nouvelle génération de leaders africains dans la recherche en développement et la formulation de politiques...

Offre d’emploi : Identification de nouveaux formateurs FIP & STEP / Agent de contrôle de qualité

Le projet TRANSFORME lance une campagne de recrutement pour identifier et sélectionner de nouveaux formateurs pour les programmes Formation à l'Initiative Personnelle (FIP) et Student Training for Entrepreneurial Promotion (STEP), ainsi que des Agents de contrôle de qualité.

FPI-Appel d’Offres International pour l’Acquisition de Véhicules 4×4 en RDC

FPI-Appel d'Offres International pour l'Acquisition de Véhicules 4x4 en RDC. Cet appel d'offres fait suite au Plan de Passation des Marchés publié sur le site internet de l'ARMP le 5 mars 2024.