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La Banque mondiale dévoile 5 études économiques éclairantes sur la RDC

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La Banque mondiale, institution vénérée dans les sphères de la finance internationale, a fait étalage de son engagement envers le développement économique de la République démocratique du Congo (RDC) lors du récent Knowledge Fest qui s’est tenu à Kinshasa. Le 4 octobre dernier, sous la houlette de son éminent directeur des opérations en RDC, Albert Zeufack, elle a révélé, avec une solennité propre à ces occasions, cinq travaux analytiques d’une importance cruciale pour l’avenir économique de la nation congolaise.

Ces précieux documents, ciselés par les esprits les plus affûtés au sein de la Banque mondiale, promettent de jeter une lumière vive sur la trajectoire économique de la RDC. Les voici, tels des joyaux dans la couronne du savoir économique mondial :

  1. Le Mémorandum économique pays (CEM) : Un document d’une profondeur inégalée, élaboré sous la plume éclairée de Mlle Sandra El Saghir, économiste principale pour la RDC. Il scrute avec une précision chirurgicale les rouages du cadre macroéconomique actuel et identifie les barrières qui freinent la transformation de la croissance en amélioration tangible des conditions de vie pour les citoyens congolais.
  2. Le Rapport national sur le climat et le développement (CCDR) : Réalisé par Mlle Ana Elisa Buclier, spécialiste principale de l’environnement, ce rapport est une pièce maîtresse dans le puzzle de la durabilité. Il quantifie l’impact du changement climatique sur l’économie congolaise et met en exergue les politiques et les interventions cruciales pour renforcer la résilience.
  3. La Revue des dépenses publiques (PER) : Présentée avec brio par Mlle Ruxandra Burdescu, spécialiste principale de la gouvernance, cette revue examine en détail la gestion des ressources publiques. Elle offre un précieux guide pour l’amélioration de la mobilisation et de la gestion des fonds publics, des éléments essentiels pour surmonter les défis complexes qui érodent l’économie congolaise.
  4. « L’avenir des ressources de l’Afrique » : Sous la plume éclairée de James Cust, économiste principal, cet ouvrage visionnaire explore les potentialités inexplorées des ressources africaines. Une lecture incontournable pour quiconque s’intéresse à la prospérité future du continent.
  5. Africa’s Pulse : « Créer de la croissance pour tous grâce à de meilleurs emplois » : Albert G. Zeufack, dans une magistrale démonstration de leadership, a exposé l’importance capitale de ce rapport. Il met en lumière la nécessité de réformes économiques audacieuses pour favoriser une croissance diversifiée et inclusive, permettant à la RDC de prétendre à l’accession au groupe des pays à revenu intermédiaire, tel que souhaité par les autorités.

M. Zeufack a insisté sur l’importance de la Revue des dépenses publiques, soulignant que celle-ci pourrait déverrouiller les clés pour une mobilisation plus efficace des ressources publiques. Il a déclaré : « Cette revue permettra d’identifier les bonnes pratiques pour améliorer la mobilisation et la gestion des ressources publiques afin de relever les défis complexes qui freinent l’émergence de l’économie de la RDC. »

Le Mémorandum économique pays, selon lui, est d’une extrême importance et mérite une attention soutenue. Il a regretté que malgré les efforts notables déployés, le cadre macroéconomique actuel ne parvienne pas à traduire la croissance en améliorations substantielles et généralisées des conditions de vie de la population. Il a ainsi encouragé la poursuite des réformes économiques ambitieuses pour une croissance diversifiée et inclusive.

Ce précieux mémorandum révèle comment la diversification économique en RDC est entravée par un environnement truffé de contraintes réglementaires et budgétaires, entravant ainsi le secteur privé dans sa quête d’une meilleure exploitation de la croissance économique.

Le Rapport national sur le climat et le développement se positionne comme un soutien essentiel aux efforts de la RDC pour atteindre ses objectifs de développement dans un contexte de changement climatique. Il quantifie les impacts potentiels du changement climatique sur l’économie congolaise et met en avant les politiques clés qui permettront de renforcer la résilience face à ces défis environnementaux majeurs.

Enfin, l’ouvrage visionnaire « L’avenir des ressources de l’Afrique » scrute les tendances majeures telles que la transition, la mécanisation industrielle et la dégradation environnementale, offrant une perspective unique sur l’avenir du continent africain.

Dans ce contexte, le ministre du Budget, Aimé Budget, a souligné l’importance capitale de la Revue des dépenses publiques. Il a affirmé que des dépenses publiques judicieusement gérées pouvaient procurer à la population l’accès à l’éducation, au logement, aux soins de santé et à l’électricité. Cela démontre un engagement inébranlable envers l’amélioration du bien-être des citoyens, plaçant ainsi la personne humaine au centre de l’action gouvernementale.

Ces travaux analytiques de la Banque mondiale constituent une ressource inestimable pour guider les politiques économiques de la RDC vers un avenir plus prospère et durable. Ils dessinent une feuille de route éclairée pour surmonter les défis économiques actuels et bâtir un avenir radieux pour la nation congolaise. Les chiffres et pourcentages qu’ils renferment deviennent des boussoles indispensables pour les décideurs congolais en quête de solutions éclairées pour l’essor économique du pays.

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